CHASSEUR-CUEILLEUR, 2019-2020.

 

Ce premier mode de subsistance de l’espèce humaine qui consiste en un prélèvement de ressources directement dans la nature est devenu au fil du temps une façon de nourrir la recherche. Les éléments biologiques récoltés sont classés et rangés dans l’atelier. Tous ont en commun d’avoir subi l’empreinte du temps et des modifications naturelles, beaucoup proviennent du monde marin.

S’en suit une phase d’observation minutieuse par le dessin puis la photographie. Par la retouche numérique, l’élément subit de nouvelles altérations, une nouvelle réalité fictive.